Sélectionner une page

Il y a de très loooongues années (cette fois pour de vrai, mamie Flou au placard), on avait regardé en famille un téléfilm de Noel. Je ne me souviens de rien, si ce n’est d’une réplique qui est restée culte à la maison, celle d’un robot cyclothymique répétant par intermittence « bip bip bientot Noel ». Depuis, chez mes parents, l’expression s’est ajoutée à la liste des expressions incompréhensible à tout « étranger ». (Depuis, j’ai découvert aussi que Charlélie Couture l’utilisait aussi dans une de ses chansons, c’est normal, il est de ma région où il fait froid alors il a du voir le film aussi)

chocolats de Noel

Tout ça pour vous dire que j’associe toujours cette phrase à la période qui précède les fetes (on se l’envoie par texto avec ma frangine dès la fin d’octobre), et qu’à réaliser cette recette me sont tout de suite venus en tete des buffets étoilés et des sapins décorés… On n’y est pas encore, mais qui a dit qu’on avait pas le droit de s’y préparer!?

amour en cage

Cette recette, c’est de la flemme en barre, de l’esbrouffe qui prend 3 minutes, de l’astuce qui en jette sans user l’huile de coude… C’est meme pas une recette en fait, tout le charme réside dans l’ingrédient principal, le physalis, de son imprononçable vrai nom alkekengi et de son poétique surnom d’amour en cage, dans sa dentelle beige qui cache un coeur orangé et dans son plongeon dans le chocolat fondu qui fait trépigner dans l’attente que ça durcisse pour pouvoir gouter (alors, attendre Noel, vous imaginez!?)

physalis au chocolat

Zou! Pas d’excuse pour ne pas essayer, c’est bon, joli et tout le monde va adorer! Bip bip!